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Les bananes et la maladie de Crohn : alliées ou ennemies ?

  • Sylvie Knockaert
  • 14 minutes de lecture
Les bananes et la maladie de Crohn : alliées ou ennemies
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Alors, les bananes et la maladie de Crohn, copains ou ennemis jurés ? ⚔️

Ah, la question existentielle du siècle pour nous, les guerriers de Crohn ! Peut-on, oui ou non, se délecter d’une bonne banane sans déclencher une tempête intestinale digne de ce nom ? La réponse, mes amis, est un retentissant… « Ça dépend ! » Oui, je sais, c’est la réponse la moins satisfaisante du monde, mais accrochez-vous, on va décortiquer tout ça avec humour et pragmatisme.

Imaginez la scène : vous êtes là, en pleine rémission (alleluia!), l’estomac à peu près calme, et soudain, l’envie irrépressible d’une banane vous saisit. Est-ce un piège tendu par votre propre corps ? Faut-il céder à la tentation ou résister héroïquement pour éviter le chaos ? Respirons un grand coup et explorons ensemble le monde merveilleux (et parfois perfide) des bananes et de Crohn.

Banane, mon amour : pourquoi elle pourrait être votre alliée (parfois)

Commençons par les bonnes nouvelles, voulez-vous ? La banane, ce fruit jaune et souriant, a quelques atouts dans sa manche, surtout pour nos intestins capricieux :

  • Douceur et digestibilité : La banane, c’est un peu le doudou de l’estomac. Facile à digérer, elle ne demande pas un effort colossal à notre système digestif déjà bien occupé à gérer l’inflammation. C’est un peu comme demander à un marathonien de faire une petite promenade digestive plutôt qu’un sprint.
  • Source de potassium : Le potassium, c’est ce minéral qui nous aide à garder la pêche, à éviter les crampes (parce qu’on en a déjà assez avec Crohn, merci bien) et à réguler la tension artérielle. Or, avec Crohn, les pertes de potassium peuvent être plus importantes, notamment en cas de diarrhées… Donc, la banane, en mode pompier, vient à la rescousse !
  • Fibres solubles : Attention, fibres ne riment pas toujours avec « danger » pour Crohn ! Les fibres solubles, celles que l’on trouve dans la banane mûre, ont la particularité de se dissoudre dans l’eau et de former un gel. Ce gel peut aider à ralentir la digestion (pratique en cas de diarrhée) et à nourrir nos bonnes bactéries intestinales (nos copines, celles qui travaillent pour nous).
  • Riche en énergie rapide : Un coup de mou ? Une banane et hop, un regain d’énergie naturel et rapide ! Idéal pour les moments de fatigue intense que l’on connaît bien avec Crohn. C’est un peu le « boost » sans l’effet « crash » des boissons énergisantes chimiques.

Alors, sur le papier, la banane a tout bon, non ? Eh bien, oui… et non. Car avec Crohn, rien n’est jamais simple, n’est-ce pas ? Préparons-nous à la face cachée de la banane…

Banane, traître potentiel : les pièges à éviter

Si la banane peut être une amie, elle peut aussi se transformer en ennemi juré, surtout en période de crise (flare-up, comme disent les anglophones, ou « attaque de Crohn » pour les puristes). Voici pourquoi il faut rester prudent :

  • Fibres, encore elles : Oui, les fibres solubles sont sympas, mais les fibres insolubles, celles des bananes pas assez mûres ou des fruits crus en général, peuvent être plus irritantes pour un intestin enflammé. Elles peuvent accélérer le transit (l’inverse de ce qu’on recherche en cas de diarrhée) et provoquer des ballonnements. C’est un peu comme si on demandait à un pompier de jeter de l’huile sur le feu… pas top !
  • FODMAPs : Ce mot barbare désigne un groupe de glucides fermentescibles (Fermentable Oligosaccharides, Disaccharides, Monosaccharides And Polyols). Les bananes mûres sont modérément riches en FODMAPs, et chez certaines personnes sensibles, cela peut provoquer des gaz, des ballonnements et des douleurs abdominales. Chaque intestin réagit différemment, c’est la loterie des FODMAPs !
  • Maturité : Le stade de maturité de la banane est crucial ! Une banane verte, bourrée d’amidon résistant, sera beaucoup moins digeste qu’une banane bien mûre, tachetée de brun. La banane verte, c’est un peu le caillou dans la chaussure de l’intestin sensible.

Alors, comment s’y retrouver dans cette jungle bananière ? Pas de panique, voici quelques conseils pour apprivoiser la banane en douceur.

Le guide de survie « banane et Crohn » : mode d’emploi

Voici les règles d’or pour savourer une banane sans (trop) de risques :

  1. Écoutez votre corps : C’est la règle numéro un, valable pour tout avec Crohn. Si vous savez que les bananes ont tendance à vous jouer des tours, soyez prudents, surtout en période de crise. Chaque personne est unique, et ce qui fonctionne pour votre voisin ne fonctionnera pas forcément pour vous.
  2. Choisissez la bonne banane : Optez pour une banane bien mûre, voire très mûre. Plus elle est mûre, plus l’amidon résistant se transforme en sucres simples, plus elle est facile à digérer, et moins elle contient de FODMAPs irritants. La banane parfaite ? Celle qui a quelques taches brunes, mais pas trop noircie (sinon, c’est compote de banane assurée).
  3. Modération, toujours : Même si vous tolérez bien les bananes, n’en abusez pas, surtout en période de sensibilité. Une demi-banane, voire une banane entière de temps en temps, c’est généralement suffisant. N’oubliez pas que la variété est la clé d’une alimentation équilibrée, et que trop de banane, c’est comme trop de soleil, ça peut brûler !
  4. Testez en douceur : Si vous n’avez jamais mangé de banane depuis votre diagnostic de Crohn, ou si vous êtes en période de réintroduction alimentaire, commencez par de petites quantités. Un quart de banane, puis une demi, puis une entière… Observez attentivement les réactions de votre corps. Votre intestin est le meilleur indicateur !
  5. Cuisinez-la : Si vous avez peur des fibres crues, cuisinez votre banane ! En compote, au four, ou même poêlée, la cuisson rend les fibres plus douces et plus digestes. Une banane cuite, c’est un peu comme une banane en mode « zen », prête à se faire adopter par votre intestin.
  6. Combinez-la : Associez la banane à d’autres aliments doux pour l’intestin : yaourt nature, porridge d’avoine, smoothie avec d’autres fruits et légumes tolérés (myrtilles, épinards…). Un smoothie banane-myrtilles-yaourt, c’est un peu le cocktail gagnant pour un petit-déjeuner ou un en-cas doux et nutritif.

Au-delà de la banane : le grand bal des fruits et légumes pour Crohn

La banane n’est pas la seule star du panier de fruits et légumes pour nous, les Crohniens. Il existe tout un éventail d’options, à adapter selon nos envies et nos tolérances :

Les fruits : nos amis sucrés (avec modération)

  • Pommes et compotes : Cuites et sans peau, les pommes sont généralement bien tolérées. La compote de pommes, c’est un peu la valeur sûre, le fruit « passe-partout » en cas de crise. Douce, réconfortante, elle nous rappelle l’enfance et les câlins de mamie.
  • Framboises : Ces petites baies rouges sont riches en antioxydants et en fibres (surtout les pépins, donc attention en période de crise). En petite quantité, elles peuvent apporter une touche de fraîcheur et de vitamines.
  • Melon et pastèque : Riches en eau et pauvres en fibres, ces fruits d’été sont souvent bien tolérés, surtout en dehors des crises. Rafraîchissants et légers, ils nous rappellent les vacances et les barbecues entre amis (sans les saucisses grasses, hein, Crohn veille !).
  • Myrtilles : Comme les framboises, elles sont riches en antioxydants et en fibres. En petite quantité et bien mûres, elles peuvent être tolérées. Et puis, leur couleur violette est tellement joyeuse, ça met de bonne humeur, même avec Crohn !

Attention aux fruits à éviter (surtout en crise) :

  • Agrumes (orange, citron, pamplemousse…) : Acides, ils peuvent irriter un intestin enflammé. Le jus de citron dans l’eau chaude le matin, c’est peut-être pour d’autres, pas pour nous en période de crise.
  • Fruits secs (raisins secs, figues sèches, dattes…) : Très riches en fibres, ils peuvent être difficiles à digérer et provoquer des ballonnements. Les fruits secs, c’est un peu le concentré de fibres, à consommer avec parcimonie.
  • Fruits à peau épaisse ou à pépins (raisin, kiwi, fruits rouges avec pépins…) : La peau et les pépins peuvent être irritants pour l’intestin. Si vous aimez le raisin, optez pour le jus de raisin sans pulpe. Si vous aimez les kiwis, pelez-les soigneusement et retirez le cœur dur.

Les légumes : nos alliés verts (et orange, et rouges…)

  • Courges et potirons : Cuits, ils sont doux, digestes et riches en vitamines. La purée de potiron, c’est un peu le velouté réconfortant par excellence, idéal pour les soirs d’hiver (ou les jours de crise).
  • Carottes cuites : Tendres, sucrées et riches en bêta-carotène, les carottes cuites sont souvent bien tolérées. En purée, en soupe, ou simplement à la vapeur, elles sont nos amies.
  • Haricots verts : Cuits à la vapeur ou à l’eau, ils sont doux et apportent des fibres douces. Attention à ne pas les surcuire, ils doivent rester légèrement croquants.
  • Pommes de terre (sans la peau) : Riches en amidon et pauvres en fibres (sans la peau), les pommes de terre cuites sont généralement bien tolérées. En purée, en gratin, ou simplement bouillies, elles sont un féculent de choix en cas de Crohn.
  • Salade iceberg : Oui, la salade iceberg, celle que l’on critique souvent pour son manque de nutriments, peut être une option en cas de Crohn. Elle est pauvre en fibres et souvent bien tolérée crue. Mais attention, pas de vinaigrette trop acide ou trop grasse !

Attention aux légumes à éviter (surtout crus et en crise) :

  • Légumes crus (salades vertes (sauf iceberg), crudités…) : Trop riches en fibres insolubles, ils peuvent irriter un intestin enflammé. Les crudités, c’est un peu le défi ultime pour un intestin sensible, à réserver pour les périodes de rémission.
  • Choux (chou-fleur, brocoli, chou de Bruxelles…) : Fermentescibles, ils peuvent provoquer des gaz et des ballonnements. Les choux, c’est un peu la fanfare intestinale, à éviter avant un rendez-vous important.
  • Poivrons, oignons, ail : Irritants pour certains, ils peuvent déclencher des symptômes chez les personnes sensibles. L’oignon et l’ail, c’est un peu l’épice « double tranchant », à utiliser avec prudence.

Petit-déjeuner de champion (Crohn-compatible) : on mange quoi ?

Le petit-déjeuner, repas le plus important de la journée… surtout quand on a Crohn et qu’on veut démarrer la journée en douceur. Voici quelques idées :

  • Œufs : Sous toutes leurs formes (coque, brouillés, omelette), les œufs sont une excellente source de protéines faciles à digérer. Un œuf à la coque, c’est un peu le petit-déjeuner « safe », simple et efficace.
  • Pancakes : Oui, des pancakes ! Mais attention, version « Crohn-friendly » : à base de farine blanche, sans lactose (lait végétal ou eau), et avec peu de sucre. Les pancakes, c’est un peu le plaisir régressif du dimanche matin, à adapter à nos contraintes.
  • Smoothies : Mixez ensemble des fruits et légumes tolérés (banane, myrtilles, épinards, carottes cuites…), un yaourt nature (ou végétal), et une boisson végétale. Un smoothie, c’est un peu le concentré de vitamines et de douceur, parfait pour un petit-déjeuner rapide et nutritif.
  • Porridge d’avoine : Préparé avec de l’eau ou une boisson végétale, le porridge d’avoine est doux, rassasiant et apporte des fibres solubles. Le porridge, c’est un peu le petit-déjeuner « cocooning », réconfortant et chaleureux.

Salade, pizza, peanut butter, spaghetti… : les interdits (ou presque) ?

Peut-on encore manger des « vrais » repas quand on a Crohn ? La réponse est oui, mais avec quelques ajustements :

Salade : oui, mais cuite ?

La salade verte crue, on l’a vu, c’est souvent à éviter en période de crise. Mais les salades composées, avec des légumes cuits, des protéines maigres (poulet grillé, poisson blanc, œufs durs), et une vinaigrette légère, peuvent être une option. La salade, c’est un peu le plat « caméléon », à adapter selon nos envies et nos tolérances.

Pizza : oui, mais « Crohn-isée » ?

La pizza classique, avec sa pâte épaisse, sa sauce tomate acide, sa mozzarella grasse et sa garniture de charcuterie épicée, c’est souvent un cocktail explosif pour un intestin sensible. Mais une pizza « Crohn-friendly », avec une pâte fine, une base de crème fraîche légère (ou sans lactose), des légumes cuits, du poulet ou du jambon maigre, et un fromage allégé, peut être une option gourmande. La pizza, c’est un peu le plat « plaisir coupable », à déculpabiliser en l’adaptant.

Peanut butter : oui, mais smooth !

Le beurre de cacahuète, c’est une bonne source de protéines et de bonnes graisses. Mais attention à choisir une version lisse (smooth), sans morceaux de cacahuètes, et sans sucre ajouté. Le beurre de cacahuète, c’est un peu la gourmandise « healthy », à consommer avec modération (et à la cuillère, si on veut !).

Spaghetti : oui, mais raffinés !

Les pâtes complètes, riches en fibres, sont à éviter en période de crise. Optez pour des pâtes blanches raffinées, plus digestes. Avec une sauce tomate maison (sans peau ni pépins), une sauce à la crème légère, ou simplement un filet d’huile d’olive, les spaghetti peuvent être un plat simple et réconfortant. Les spaghetti, c’est un peu le plat « réconfort », facile à préparer et à déguster.

Hamburger : oui, mais lean !

Le hamburger classique, avec son pain brioché, sa viande grasse, sa sauce mayonnaise et ses frites, c’est le fast-food à éviter absolument. Mais un hamburger « maison », avec un pain complet (si toléré), un steak haché maigre, des légumes cuits (oignons caramélisés, courgettes grillées), et une sauce légère (yaourt-herbes), peut être une option moins catastrophique. Le hamburger, c’est un peu le plat « interdit », à transformer en option acceptable.

Mayonnaise : non, plutôt crème légère !

La mayonnaise, sauce grasse et riche en œufs, est souvent mal tolérée. Préférez des sauces à base de yaourt nature, de crème fraîche légère, de fromage blanc, ou simplement un filet d’huile d’olive et de citron. La mayonnaise, c’est un peu la sauce « bombe calorique », à remplacer par des options plus légères et digestes.

Crevettes et poisson blanc : oui, sans hésiter !

Les crevettes et le poisson blanc (tilapia, sole, cabillaud…) sont des excellentes sources de protéines maigres, faciles à digérer et riches en nutriments. Grillés, pochés, ou cuits à la vapeur, ils sont nos amis. Les fruits de mer et le poisson blanc, c’est un peu la protéine « star », légère et savoureuse.

Crohn’s belly, faim constante, fatigue… : comment gérer les symptômes ?

Crohn, ce n’est pas juste des problèmes de digestion, c’est aussi tout un cortège de symptômes annexes, parfois bien pénibles :

Crohn’s belly : qu’est-ce que c’est que ce ventre de Crohn ?

Le « Crohn’s belly », ce n’est pas un terme médical officiel, mais plutôt une expression populaire pour désigner tous les symptômes abdominaux liés à la maladie : douleurs, crampes, ballonnements, distension abdominale… En gros, c’est quand notre ventre décide de faire la grève et de nous le faire savoir bruyamment et douloureusement. Le « Crohn’s belly », c’est un peu notre « ventre qui crie », à calmer avec douceur et patience.

Faim de loup constante : pourquoi on a toujours faim avec Crohn ?

Plusieurs raisons peuvent expliquer cette faim insatiable : l’inflammation chronique qui perturbe les signaux de satiété, la malabsorption des nutriments qui pousse notre corps à réclamer plus de nourriture, les médicaments (corticoïdes) qui augmentent l’appétit… La faim de loup avec Crohn, c’est un peu le « trou sans fond », à gérer avec des repas fréquents et équilibrés.

Fatigue chronique : pourquoi on est toujours épuisé avec Crohn ?

L’inflammation chronique, les troubles du sommeil, les carences nutritionnelles (fer, vitamine B12…), les médicaments… Tout ça contribue à cette fatigue intense et persistante que l’on connaît bien. La fatigue de Crohn, c’est un peu le « poids invisible », à alléger avec du repos, une alimentation adaptée, et du soutien psychologique.

Comment calmer un intestin enflammé ?

  • Limiter les produits laitiers : Le lactose peut être irritant pour certaines personnes. Optez pour des alternatives végétales (boissons végétales, yaourts végétaux…).
  • Manger de petits repas fréquents : Plutôt que trois gros repas, préférez cinq ou six petits repas légers et digestes.
  • Boire beaucoup de liquides : Eau, infusions, bouillons… L’hydratation est essentielle, surtout en cas de diarrhée.

Prise de poids inexpliquée : pourquoi on grossit avec Crohn ?

Paradoxalement, certaines personnes prennent du poids avec Crohn. Les médicaments (corticoïdes, infliximab), les changements alimentaires (pour compenser les carences), l’amélioration de l’activité de la maladie (on absorbe mieux les calories)… Tout ça peut jouer. La prise de poids avec Crohn, c’est un peu le « contre-pied », à surveiller avec son médecin et son nutritionniste.

Comment calmer une crise de Crohn ?

  • Médicaments prescrits : C’est la base du traitement, à suivre scrupuleusement.
  • Alimentation adaptée : Régime pauvre en fibres, sans résidus, facile à digérer (bouillon de légumes, riz blanc, poulet grillé, compote de pommes…).
  • Gestion du stress : Relaxation, méditation, yoga… Le stress aggrave l’inflammation.
  • Hydratation : Eau, bouillon, infusions… Essentiel pour compenser les pertes dues à la diarrhée.

Que boire en cas de crise de Crohn ?

L’eau, c’est la boisson numéro un. Mais on peut aussi varier avec du bouillon de légumes (maison, sans sel ajouté), du jus de tomate (sans acidité), des infusions (camomille, verveine…). Les boissons sucrées, gazeuses, alcoolisées, et le café sont à éviter en période de crise. Les boissons pendant la crise, c’est un peu le « réconfort liquide », à choisir avec soin.

Combien de fois par jour va-t-on aux toilettes avec Crohn ?

La fréquence des selles varie énormément d’une personne à l’autre, et selon l’activité de la maladie. Mais des selles fréquentes, plus de trois fois par jour, sont un symptôme courant en période de crise. La fréquence des selles avec Crohn, c’est un peu le « baromètre » de notre inflammation, à surveiller de près.

Popcorn : interdit ou toléré ?

Le popcorn, riche en fibres insolubles et en « peau » de maïs, peut être irritant pour un intestin sensible, surtout en période de crise. À consommer avec prudence, et plutôt en dehors des crises, en petite quantité et bien mastiqué. Le popcorn, c’est un peu le « plaisir coupable » du cinéma, à réserver pour les jours de rémission.

Pourquoi on est si fatigué avec Crohn ? (bis repetita)

On en a déjà parlé, mais la fatigue est un symptôme majeur de Crohn, souvent lié à l’inflammation chronique et aux carences nutritionnelles. La fatigue de Crohn, c’est un peu le « symptôme signature », à prendre au sérieux et à gérer avec l’aide de son équipe médicale.

Citron : ami ou ennemi ?

Le citron, comme les autres agrumes, est acide et peut irriter un intestin enflammé. À éviter ou à limiter, surtout en période de crise ou si vous constatez qu’il déclenche des symptômes. Le citron, c’est un peu l' »acidité piquante », à manier avec précaution.

L’alimentation anti-inflammatoire : notre arme secrète ? ️

L’alimentation ne guérit pas Crohn, mais elle peut aider à réduire l’inflammation et à soulager les symptômes. Focus sur les aliments anti-inflammatoires :

L’aliment numéro un anti-inflammation ?

Il n’y a pas d’aliment « magique » qui tue l’inflammation à lui seul. Mais les poissons gras (saumon, maquereau, sardines…) sont champions grâce à leur richesse en oméga-3, des graisses anti-inflammatoires. Le saumon, c’est un peu le « super-héros » de l’assiette anti-inflammatoire.

Les aliments qui apaisent un intestin irrité ?

Viandes maigres, œufs, poissons gras, légumes verts à feuilles, noix, graines, fruits peu sucrés… En gros, une alimentation variée, équilibrée, riche en aliments non transformés et pauvre en aliments pro-inflammatoires (sucres raffinés, graisses saturées, aliments ultra-transformés…). L’alimentation apaisante, c’est un peu le « cocon » intestinal », doux et protecteur.

Les aliments qui guérissent l’inflammation du côlon ?

Fruits (cuits ou mûrs), légumes bien cuits, protéines maigres, poissons gras, purée de noix et graines moulues, féculents doux… Des aliments faciles à digérer, riches en nutriments et pauvres en irritants. L’alimentation « guérisseuse », c’est un peu le « pansement intestinal », réparateur et régénérant.

Comment éliminer l’inflammation de son corps ?

Une alimentation équilibrée et anti-inflammatoire, une activité physique régulière, une bonne gestion du stress, un sommeil de qualité, une hydratation suffisante… Un mode de vie sain dans son ensemble, pour aider notre corps à se défendre contre l’inflammation. L’élimination de l’inflammation, c’est un peu le « grand nettoyage », intérieur et extérieur.

Le fruit numéro un anti-inflammation ?

La cerise griotte (tart cherry), grâce à sa richesse en antioxydants, est souvent citée comme le fruit star anti-inflammation. Mais les myrtilles, les framboises, les mûres… Tous les fruits rouges et violets sont de bons candidats. La cerise griotte, c’est un peu la « reine des fruits rouges », anti-inflammatoire et délicieuse.

Les fruits pauvres en fibres ?

Bananes mûres, melon, pastèque, melon miel, jus de fruits sans pulpe… À privilégier en période de crise ou si vous avez du mal à tolérer les fibres. Les fruits pauvres en fibres, c’est un peu le « dessert léger », facile à digérer et rafraîchissant.

Les fruits à éviter avec Crohn ?

Fruits riches en fibres insolubles, en FODMAPs, à peau épaisse ou à pépins… Surtout en période de crise. Les fruits à éviter, c’est un peu la « liste noire », à adapter selon ses propres tolérances.

Le fruit le plus riche en fibres ?

Fruit de la passion, avocat, baies (framboises, mûres, myrtilles…)… À consommer avec modération si vous êtes sensible aux fibres, mais intéressants en période de rémission pour favoriser un bon transit. Les fruits riches en fibres, c’est un peu le « boost transit », à utiliser à bon escient.

Les œufs durs contre la diarrhée ?

Oui, les œufs durs peuvent aider à ralentir le transit intestinal et à lutter contre la diarrhée. Faciles à digérer, riches en protéines, ils sont un allié en cas de troubles digestifs. Les œufs durs, c’est un peu le « remède de grand-mère », simple et efficace contre la diarrhée.

Conclusion bananesque (et Crohnesque)

Alors, verdict final : banane, amie ou ennemie ? La banane peut être une amie, surtout en période de rémission, si on la choisit bien mûre et qu’on la consomme avec modération. En période de crise, prudence, et écoutez votre corps ! N’oubliez pas, avec Crohn, chaque personne est unique, et l’alimentation est un cheminement personnel, fait d’essais et d’erreurs. L’important, c’est de trouver ce qui fonctionne pour vous, de vous faire plaisir (raisonnablement), et de ne pas vous priver de tout. Et surtout, gardez le sourire, même quand Crohn fait des siennes !

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