Ottolenghi mange-t-il de la viande ? La vérité surprenante derrière le roi des légumes
La question brûlante que tout le monde se pose, n’est-ce pas ? Après tout, on parle de Yotam Ottolenghi, le magicien des légumes, celui qui a fait aimer le chou-fleur à votre belle-mère et transformé les carottes en stars de la pop culinaire. Alors, Ottolenghi mange-t-il de la viande ? Oui, aussi incroyable que cela puisse paraître, Ottolenghi n’est pas végétarien !
Accrochez-vous bien, car cette révélation pourrait bien ébranler vos convictions les plus profondes. Celui que le New York Times a couronné comme l’homme qui a rendu « chic de manger des légumes », l’auteur de bibles végétariennes comme « Plenty » et « Plenty More », et la plume derrière la chronique hebdomadaire « The New Vegetarian » dans The Guardian… et bien, il savoure aussi un bon steak de temps en temps !
C’est un peu comme découvrir que votre prof de yoga préféré est secrètement fan de marathons de pizza-bière devant Netflix. Surprenant, déroutant, mais finalement, plutôt humain, non ?
Le paradoxe Ottolenghi : Un amour des légumes… et un petit faible pour la barbaque
On pourrait se demander : mais alors, pourquoi tout ce tapage autour des légumes ? Pourquoi ces livres remplis de recettes végétales qui nous font saliver rien qu’en les feuilletant ? Est-ce un complot des producteurs de courgettes à l’échelle mondiale ?
La réponse est beaucoup plus simple, et beaucoup plus nuancée que ça. Ottolenghi n’a jamais prétendu être végétarien. Son amour pour les légumes est authentique, profond, presque spirituel. Il les célèbre dans tous leurs états, les transforme, les sublime, leur donne une place de choix à nos tables. Mais cela ne veut pas dire qu’il rejette catégoriquement la viande.
En fait, c’est peut-être précisément son ouverture d’esprit et sa curiosité qui font de lui un cuisinier aussi exceptionnel. Il ne se limite pas à une seule catégorie d’aliments, il explore toutes les saveurs, toutes les textures, toutes les possibilités. Et c’est ça, finalement, la vraie cuisine, n’est-ce pas ? Un terrain de jeu infini où l’on peut tout expérimenter.
Plus qu’un végétarien : Un explorateur culinaire passionné
Ottolenghi n’est pas un chef végétarien, il est un chef tout court. Un chef qui aime passionnément les légumes, mais qui ne se prive pas pour autant des autres plaisirs de la table. Imaginez-le comme un explorateur infatigable des saveurs, toujours à la recherche de nouvelles combinaisons, de nouveaux goûts, de nouvelles émotions culinaires.
Ses livres végétariens sont devenus des références parce qu’ils ont révolutionné la façon dont on cuisine les légumes. Il a osé les épicer, les griller, les mariner, les associer à des ingrédients inattendus. Il a prouvé au monde entier que la cuisine végétarienne pouvait être incroyablement gourmande, créative et excitante.
Mais si vous jetez un œil à ses autres ouvrages, comme « Jérusalem » ou « Simple », vous verrez que la viande y a aussi sa place, même si elle est moins omniprésente. Ottolenghi est un chef du Moyen-Orient, et la cuisine de cette région est riche en viandes braisées, en brochettes parfumées, en plats savoureux et réconfortants. Il serait dommage de se priver de toute cette richesse culinaire, n’est-ce pas ?
Alors, faut-il bouder Ottolenghi parce qu’il mange de la viande ? Absolument pas !
Au contraire, c’est peut-être même un gage de son authenticité. Il ne cherche pas à donner de leçons, il partage simplement sa passion pour la cuisine sous toutes ses formes. Et c’est ça qui est vraiment inspirant.
Alors, la prochaine fois que vous préparerez une recette d’Ottolenghi, que ce soit un plat végétarien ou un ragoût de viande, rappelez-vous que vous cuisinez avec un chef qui aime la bonne bouffe dans toute sa diversité. Un chef qui nous pousse à explorer de nouveaux horizons culinaires, à sortir de nos zones de confort, et à surtout, à se faire plaisir en cuisine.
Et si jamais vous croisez Ottolenghi au supermarché, jetez un coup d’œil discret dans son caddie. Vous y verrez peut-être des légumes colorés, des épices exotiques, et qui sait, peut-être même une belle côte de bœuf pour le dîner. Après tout, le plaisir est aussi dans la variété, non ?
En résumé : Oui, Ottolenghi mange de la viande. Et c’est tant mieux ! Cela ne fait que renforcer son statut de chef culinaire brillant et passionné, qui nous inspire à tous à manger mieux, et avec plus de plaisir.