Comment faire cuire de l’onglet ? Le guide hilarant pour ne pas rater ce morceau d’exception !
Ah, l’onglet ! Ce morceau de bœuf mystérieux, niché là, sous le faux-filet, comme un trésor caché. Vous vous demandez comment le cuisiner ? Vous êtes au bon endroit ! Parce que soyons honnêtes, entre nous, rater un onglet, c’est un peu comme mettre des chaussettes-claquettes : impardonnable. Mais pas de panique ! Je suis là, votre expert SEO culinaire préféré (et modeste, évidemment), pour vous guider pas à pas, avec humour et sarcasme, vers la cuisson parfaite de cet incroyable morceau de viande. Accrochez-vous, ça va saigner… mais dans le bon sens du terme !
1. Préparation de l’Onglet : L’art subtil de chouchouter sa viande
Avant de passer aux choses sérieuses, parlons préparation. Imaginez l’onglet comme une diva capricieuse : il faut le traiter avec égard. La clé ici, c’est la qualité. Choisissez un onglet digne de ce nom, chez votre boucher préféré (celui qui ne vous regarde pas de travers quand vous demandez l’origine de la vache). L’onglet, c’est un peu comme un bon vin, ça se mérite.
Et la tendreté ? Essentielle, bien sûr ! L’onglet, on le veut fondant, pas chewing-gum. La cuisson, on y reviendra, joue un rôle crucial, mais la qualité de départ aussi. Alors, on évite les onglets premier prix du supermarché du coin, sauf si on aime mastiquer pendant des heures.
Maintenant, le marinage. Optionnel, mais parfois un petit plus. Si vous avez envie de jouer les apprentis sorciers, une marinade légère peut sublimer l’onglet. Le secret de grand-mère (ou plutôt, de votre humble serviteur) ? Un peu de lait en poudre dans la marinade. Oui, oui, vous avez bien lu. Le lait en poudre, c’est la botte secrète pour adoucir l’acidité de certaines marinades et éviter que votre onglet ne devienne plus dur qu’une semelle de botte. Deux à trois cuillères à soupe suffisent, inutile de vider le paquet entier !
2. Méthodes de cuisson : À chaque onglet sa méthode, ou presque !
Passons aux choses croustillantes : la cuisson ! Plusieurs options s’offrent à vous, tel un buffet gargantuesque. Mais attention, toutes ne se valent pas. Voici un petit tour d’horizon, avec mes commentaires avisés (et toujours modestes) :
Poêle/Plancha : La méthode express et efficace
La poêle ou la plancha, c’est un peu le fast-food de l’onglet, mais en version chic et savoureuse. Ça va vite, c’est efficace, et le résultat peut être bluffant.
- Étape 1 : Chauffez ! Votre plancha ou poêle doit être brûlante, comme le soleil en plein mois d’août. Un filet d’huile d’olive (ou de beurre clarifié, soyons fous) pour éviter que ça ne colle, et c’est parti !
- Étape 2 : Saisissez ! On pose délicatement l’onglet sur la surface chaude. Environ 3 minutes de chaque côté pour une cuisson bleue. Bleue, c’est-à-dire presque crue à l’intérieur. Pour les aventuriers du goût, en somme. Pour les autres, on prolonge un peu.
- Étape 3 : Assaisonnez ! Le sel et le poivre, c’est comme le couple parfait : indispensables. On assaisonne en cours de cuisson, avec du sel et du poivre fraîchement moulu, évidemment. Le poivre en grains déjà moulu, c’est comme le café soluble : ça dépanne, mais c’est pas la folie.
- Étape 4 : Le beurre clarifié, l’arme secrète ! Dans une poêle à frire, le beurre clarifié, c’est le must pour saisir l’onglet à feu vif. Ça donne un petit goût noisette, c’est divin.
- Étape 5 : Arrosez, arrosez ! Pendant la cuisson, on arrose généreusement l’onglet avec le gras de cuisson. C’est comme un soin spa pour votre viande, ça la rend encore plus moelleuse et savoureuse. 3 à 4 minutes de chaque côté, en arrosant, c’est le timing parfait pour une cuisson saignante.
Barbecue : L’onglet grillé, la star de l’été (ou pas)
Le barbecue, c’est pour les jours ensoleillés, les copains, la bonne humeur. Mais attention, le barbecue et l’onglet, c’est une histoire d’amour compliquée.
- Étape 1 : Marinade, on oublie (presque) ! Si vous avez mariné votre onglet, enlevez le surplus de marinade avant de le jeter sur le grill. La marinade qui brûle, c’est pas terrible, terrible.
- Étape 2 : Feu vif, action ! On saisit l’onglet sur la grille à feu vif, 2 minutes de chaque côté. Le but, c’est de le marquer joliment, de lui donner ce petit goût fumé qu’on adore.
- Étape 3 : Douceur, ensuite ! On transfère l’onglet sur une zone moins chaude du barbecue, et on poursuit la cuisson 1 à 2 minutes de plus, selon la cuisson désirée. Parce que brûler l’extérieur et laisser l’intérieur cru, c’est un peu dommage.
- Étape 4 : La température, c’est capital ! Préchauffez votre grill à 550°F (environ 290°C). Nettoyez bien les grilles, histoire de ne pas avoir un goût de saucisse brûlée sur votre onglet.
- Étape 5 : 4 minutes chrono ! On pose l’onglet sur le grill, on ferme le couvercle, et on laisse cuire 4 minutes. Pas une seconde de plus, pas une seconde de moins (enfin, à quelques secondes près, on n’est pas à la minute près non plus).
Four (Rôti) : L’option pour les jours de flemme (ou pas)
Le four pour l’onglet ? Soyons clairs, c’est pas la méthode la plus courante. L’onglet, on le préfère saisi, grillé, bref, cuit rapidement. Mais si vraiment vous avez envie de le faire rôtir au four, pourquoi pas ?
- Étape unique (ouf !) : Le calcul savant ! Comptez 12 à 15 minutes par livre (500 grammes) pour cuire votre onglet au four. Un peu comme pour un rôti de bœuf classique. Mais honnêtement, la poêle ou le barbecue, c’est tellement plus sympa pour l’onglet.
3. Conseils de cuisson : Les astuces du chef (modeste, toujours)
Quelques petits conseils supplémentaires, parce que je suis sympa (et parce que ça rallonge le texte, SEO oblige) :
- Poêle brûlante, onglet heureux ! Votre poêle doit être bien chaude avant d’accueillir l’onglet. Ça permet de caraméliser la surface, de créer cette croûte délicieuse et de conserver le jus à l’intérieur. Une poêle tiède, c’est la catastrophe assurée.
- Saignant, c’est gagnant ! L’onglet, c’est comme un bon steak : saignant, c’est là qu’il révèle toutes ses saveurs. Une minute de chaque côté, en le retournant délicatement avec une pince à viande (pas de fourchette, on ne perce pas la viande, malheureux !).
- Poêle pas surcharge, sinon, carnage ! Ne surchargez pas votre poêle. Si vous mettez trop de viande d’un coup, la température chute, la viande bout au lieu de saisir, et c’est le drame. Mieux vaut cuire en plusieurs fois.
- Retournez-le, ce pauvre onglet ! On l’a déjà dit, mais on le répète : 1 minute de chaque côté pour une cuisson saignante. On ne laisse pas l’onglet brûler d’un côté pendant qu’on regarde Netflix, on le retourne !
- Repos bien mérité ! Après la cuisson, on débarrasse l’onglet de la poêle ou du grill, et on le laisse reposer 5 minutes sous un papier aluminium. Ça permet aux jus de se répartir uniformément dans la viande, et elle sera encore plus tendre et savoureuse. Un peu comme une star qui se repose après un concert.
- Sel après, pas avant ! Si vous salez votre viande avant la cuisson, le sel va attirer l’humidité, et votre onglet risque d’être moins juteux. On sale après, ou pendant la cuisson, c’est bien mieux.
4. Servir l’Onglet : L’accompagnement, c’est important aussi !
L’onglet cuit à la perfection, c’est déjà une victoire. Mais pour sublimer l’expérience, l’accompagnement, c’est essentiel.
- Sauce Bordelaise, la classique indémodable ! La sauce marchand de vin, ou sauce bordelaise, c’est le mariage parfait avec l’onglet. Un classique de la cuisine française, élégant et savoureux. Avec des échalotes, du vin rouge, de la moelle… Bref, un délice.
- Saignant, on insiste ! On ne le dira jamais assez : l’onglet, c’est saignant qu’il est le meilleur. Une minute de chaque côté, on a compris, non ? Avec une bonne bouteille de vin rouge (bordelais, tiens donc !), c’est le bonheur assuré.
5. Informations complémentaires : Pour briller en société (ou au dîner)
Quelques infos en vrac, pour impressionner vos amis lors de votre prochain dîner (ou simplement pour satisfaire votre curiosité) :
- Définition : Onglet, kézako ? L’onglet, c’est un morceau noble de viande de bœuf, situé sur le ventre de l’animal, sous le faux-filet et le filet. Un emplacement de choix, en somme.
- Noms régionaux : Un festival de surnoms ! « Ailette » à Nancy, « cornillière » à Vire, « entre-chair » à Lille, « galinette » à Marseille… L’onglet a plus de surnoms qu’un agent secret. « Osseline » à Bordeaux, Toulouse et Agen, « plat-filet » à Montreuil-sur-Mer… Bref, un vrai caméléon linguistique.
- Prix : Le prix du plaisir (parfois un peu élevé) ! L’onglet, c’est pas donné, c’est vrai. Comptez environ 36€ le kilo, pour un onglet de qualité. Mais bon, la qualité, ça se paie, non ? Et puis, se faire plaisir de temps en temps, ça n’a pas de prix (enfin si, mais passons).
- Alternative : Le paleron, le cousin sympa ! Si l’onglet est trop cher ou introuvable, le paleron de bœuf peut être une alternative intéressante. Moins noble, certes, mais tout aussi savoureux, et beaucoup plus abordable.
Voilà, vous savez tout (ou presque) sur la cuisson de l’onglet. Alors, à vos poêles, planchas, et barbecues ! Et surtout, n’oubliez pas : l’onglet, c’est saignant, et avec humour, c’est encore meilleur ! Bon appétit, et à la prochaine pour de nouvelles aventures culinaires !