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Recette de confiture de foin : un délice doux et savoureux à réaliser chez soi

  • Sophie Coste
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Tout savoir sur le foin : de la prairie à l’assiette (enfin, presque !)

Ah, le foin ! Plus qu’un simple tas d’herbe séchée, c’est la base de l’alimentation de nombreux animaux, et bien plus encore. Vous pensez que c’est juste bon pour les chevaux ? Détrompez-vous ! Accrochez-vous, on part explorer le monde fascinant du foin, de sa fabrication à ses utilisations surprenantes.

Le foin, c’est quoi au juste ?

Faire du foin, c’est un peu comme faire du thé, mais pour les animaux… en plus rustique. En gros, on fauche de l’herbe bien verte et on la laisse sécher au soleil et à l’air libre. Le but ? Réduire son taux d’humidité de 75% à moins de 20%. Pourquoi ? Pour la conserver pardi ! C’est ce qu’on appelle la conservation par voie sèche. Simple, non ?

Combien de temps ça sèche, cette affaire ?

Si le temps est de la partie (soleil et ciel bleu, on croise les doigts), comptez entre 3 et 6 jours pour que votre foin atteigne un taux de matière sèche satisfaisant, c’est-à-dire supérieur à 80%. Moins de 80%, c’est risqué pour la conservation. Personne n’aime le foin moisi, ni les animaux, ni vous !

La préparation du foin, étape par étape (ou presque)

Pour les curieux qui veulent voir comment ça se passe concrètement, il existe des vidéos, c’est fou non ? Comment Faire son foin Facilement et Gratuitement ? (attention, lien potentiellement trompeur, le foin, c’est du boulot !). Mais en résumé, c’est faucher, laisser sécher, retourner, botteler et stocker. Facile à dire…

Les caprices de la météo et le séchage du foin

Le foin, c’est un peu une star capricieuse : il est très sensible à son environnement. L’humidité de l’air, la température, le soleil, le vent… tous ces facteurs peuvent jouer les accélérateurs de séchage. Alors, on surveille la météo comme le lait sur le feu !

Le timing parfait pour la récolte : une fenêtre météo

Si vous voulez du foin de qualité, visez la seconde quinzaine de mai pour la récolte. C’est la période idéale, la fameuse « fenêtre de récolte ». Après, c’est un peu la loterie météo.

Faucher le matin : l’astuce de pro (ou presque)

Un petit secret de fenaison : fauchez le matin ! Pourquoi ? Parce que l’herbe fauchée est exposée plus longtemps au soleil dans la journée, ce qui accélère le séchage. Dans les régions plus humides, c’est encore plus important. Le fauchage matinal, c’est un peu le coup de pouce pour un séchage rapide.

Foin de qualité, foin royal !

Comment reconnaître un foin digne de ce nom ?

Un bon foin, c’est comme un bon vin, ça se juge à plusieurs critères :

  • La proportion de feuilles et d’inflorescences : C’est un indicateur clé de la qualité. Plus il y a de feuilles, mieux c’est.
  • La couleur : Visez le vert clair à vert foncé. Un foin trop jaune ou marron, c’est pas bon signe.
  • L’odeur : Ça doit sentir bon l’herbe fraîche, un parfum aromatique agréable. Si ça sent le renfermé, le brûlé ou autre chose de bizarre, passez votre chemin.
  • La présence de feuilles (ou fragments) : Signe qu’il n’a pas été trop manipulé et qu’il conserve ses qualités nutritives.

En gros, un foin de qualité, c’est un foin appétissant, même pour nous, si on était des vaches (ou des chevaux, ou des moutons…).

Foin sec, foin top ! Comment s’en assurer ?

Pas besoin d’être devin pour savoir si votre foin est sec. Quelques astuces de pro :

  • 65% MS (Matière Sèche) : Certaines feuilles commencent à devenir cassantes.
  • 70 à 75% MS : Le foin a l’air sec au-dessus des andains (ces rangées de foin), mais reste un peu humide en dessous.
  • 80 à 85% MS : Le fourrage est craquant sous les doigts. Bingo, c’est sec !

Avec l’habitude, vous reconnaîtrez le foin sec au premier coup d’œil (et de main !).

Votre foin est-il encore bon pour les chevaux de course ?

Tant que votre foin n’est pas poussiéreux, moisi et qu’il n’a pas plusieurs années au compteur, il est encore bon pour les chevaux. L’essentiel, c’est qu’il soit sec et propre. Un cheval difficile fera peut-être la fine bouche, mais un foin sain, c’est déjà la moitié de la bataille gagnée.

Sécher son foin soi-même : mission possible ?

Oui, le soleil est votre allié ! Étalez votre foin, laissez le soleil faire son œuvre en quelques jours. Un petit coup d’ameneur (machine agricole) pour retourner et aérer, et hop, le séchage peut être bouclé en une journée si la météo est au top. La nature est bien faite, non ?

Foin moisi, foin banni ! Comment le détecter ?

Un foin moisi, ça se voit et ça se sent. Attention aux signaux :

  • Couleur : Gris, jaune tacheté ou zones blanches (parfois collantes).
  • Odeur : Humide, odeur de moisi.
  • Aspect : Signes visibles de moisissures.

Dans ce cas, direction poubelle (ou compost, si vraiment vous êtes écolo jusqu’au bout des bottes). Un foin moisi est impropre à la consommation, pour les animaux comme pour vous (on ne sait jamais…).

Foin pourri : que faire ? La question existentielle

Si votre foin est pourri, la réponse est radicale : jetez-le ! Pas de quartier pour le foin moisi et humide. Mieux vaut prévenir que guérir, et surtout, mieux vaut éviter de rendre vos animaux malades.

Le foin, star polyvalente !

Le foin, aliment vedette du monde animal

Le foin, c’est un peu le pain quotidien des animaux. Fourrage de base pour les chevaux (Le foin, fourrage de base des équidés), il nourrit aussi les vaches laitières, surtout en agriculture biologique. Certains éleveurs ne jurent que par le foin sec pour leurs vaches, délaissant même l’ensilage. Le foin, c’est un retour aux sources, en quelque sorte.

Le foin se met à table ! (enfin, presque…)

Vous ne mangerez pas le foin tel quel, soyons clairs. Mais en cuisine, il a son mot à dire ! Fumé, en étouffé ou infusé, il parfume délicatement vos plats. La cuisine au foin, c’est tendance, surtout en Provence, patrie du foin de Crau AOC. Pour cuire volailles ou rôtis, tentez la cocotte de foin au four, original et parfumé ! Pour plus d’inspiration, jetez un œil à Le livre de recettes au foin. Surprenant, non ?

La tisane de foin : remède de grand-mère revisité

La tisane de foin, vous connaissez ? Simple à préparer, elle est réputée pour ses bienfaits sur la santé. Règles douloureuses, lumbago, maux de dos, contractures, rhumatismes, stress… La fleur de foin aurait des vertus insoupçonnées. À tester pour se détendre et soulager les petits maux du quotidien.

Le foin, complice de votre bien-être

Le foin n’est pas seulement bon à manger (enfin, à infuser…). Il a aussi des vertus pour le corps. Bains et enveloppements de foin détendent les muscles, éliminent les toxines, favorisent la circulation sanguine. Idéal pour soulager les douleurs rhumatismales, la sciatique, les contractures… Un spa au foin, ça vous tente ?

Le foin au jardin : l’ami des tomates (et du sol)

Au jardin, le foin se transforme en paillis de luxe pour vos tomates. Riche en nutriments, il nourrit le sol et se décompose plus vite que la paille. Un paillage de 8 à 10 cm d’épaisseur, et vos tomates vous remercieront. Le foin apporte des éléments minéraux nutritifs au sol, un vrai plus pour vos cultures. Et en plus, il limite la pousse des mauvaises herbes. Que demander de plus ?

Manger du foin, vraiment ? On récapitule

Non, on ne mange pas le foin tel quel. Mais infusé, fumé ou en étouffé, il révèle ses arômes et parfume vos plats. C’est clair ?

Quel foin choisir pour cuisiner ? Le foin de Crau AOC, star des fourneaux

Pour la cuisine au foin, misez sur le foin de Crau AOC. C’est le seul foin AOC de France, une garantie de qualité et de saveur. Pour les autres foins, choisissez-les bien parfumés et de bonne qualité, comme pour vos animaux. Et n’hésitez pas à expérimenter !

Pailler les tomates avec du foin : bonne ou mauvaise idée ?

Excellente idée ! Le paillis de foin est parfait pour les tomates. Il nourrit le sol, se décompose rapidement et apporte un bon équilibre carbone/azote. Attention, trop d’azote favorise les feuilles au détriment des fruits. Mais un paillage de foin bien dosé, c’est le secret de belles tomates juteuses.

Conservation du foin : l’art du stockage

Combien de temps se garde le foin ? Le temps n’a pas d’emprise… ou presque

Le foin, c’est un peu le champion de la conservation longue durée. Bien stocké, il peut se garder des années ! Mais idéalement, consommez-le dans les trois ans après la fauche pour profiter de toutes ses qualités nutritives. Après, il perd un peu de sa valeur, comme nous tous, finalement.

Les commandements du stockage de foin : un abri anti-humidité

Pour un foin qui dure, suivez ces règles à la lettre :

  • Endroit frais et sec : Surtout pas de cave ou de garage humide !
  • Bien ventilé : N’entassez pas les bottes dans un placard fermé. Le foin a besoin de respirer.
  • Évitez le contact avec le sol : Utilisez des palettes pour surélever les bottes et limiter les remontées d’humidité.

Un stockage au top, c’est la garantie d’un foin au top !

Les ennemis du foin : humidité, condensation et échauffement

Attention aux problèmes de stockage, ils peuvent ruiner votre foin :

  • Humidité : C’est l’ennemi numéro un ! Elle entraîne moisissures et champignons. Beurk !
  • Condensation sous bâche : À éviter absolument ! La bâche crée un effet de serre humide, parfait pour les champignons.
  • Échauffement du foin humide : Risque d’incendie ! Un foin trop humide fermente et peut s’échauffer jusqu’à l’auto-inflammation. Danger !
  • Perte de qualité nutritive avec le temps : Même bien stocké, le foin perd un peu de ses nutriments avec le temps. C’est la vie !

Comment conserver le foin quand la température monte ?

Si votre foin chauffe, pas de panique (mais agissez vite !) : transférez les bottes dans un endroit bien aéré, sans les entasser. L’air doit circuler entre les bottes pour éviter l’échauffement et le risque d’incendie. La ventilation, c’est la clé !

Stocker le foin sous bâche : fausse bonne idée !

Oubliez la bâche ! C’est le pire ennemi du foin stocké. Condensation assurée, champignons garantis, et bonjour les problèmes respiratoires pour les chevaux (et les humains). Le stockage sous bâche, c’est un « non » catégorique.

Bottes de foin sous la pluie : la catastrophe ?

Laisser les bottes de foin sous la pluie, c’est risqué. Assurez-vous que le foin soit bien sec avant de le rentrer. S’il a plu, laissez les bottes sécher plus longtemps dehors et vérifiez leur température interne (elle ne doit pas dépasser 35°C). Mieux vaut prévenir que guérir (et incendier son stockage).

Pourquoi le foin prend feu ? Le mystère des combustions spontanées

Le foin qui prend feu, ce n’est pas un mythe. La cause principale ? Un foin pas assez sec au moment du pressage, avec un taux d’humidité supérieur à 13-15%. La fermentation du foin humide produit de la chaleur et des gaz inflammables. Résultat : échauffement, auto-inflammation et parfois… incendie. Un foin bien sec, c’est la base de la sécurité.

Foin humide = danger !

Un foin trop humide et une densité de fourrage élevée dans la botte, c’est le cocktail explosif pour l’échauffement et l’incendie. Un foin aéré et bien sec, c’est la solution pour un stockage serein.

Stockage anti-altération : le guide de survie du foin

Pour stocker votre foin sans l’abîmer, suivez ces conseils précieux :

  • Évitez le contact direct avec le sol (palettes obligatoires).
  • Stockez dans un endroit frais, sec et bien ventilé (oubliez caves et garages humides).

Avec ces précautions, votre foin restera au top !

Durée de vie du foin : le secret de la longévité

Le foin, bien conservé, peut se garder longtemps, très longtemps ! C’est l’aliment qui se conserve le mieux, à condition de respecter les règles de stockage. Idéalement, consommez-le dans les trois ans pour une qualité optimale. Mais après, il peut encore dépanner.

Vieux foin : seconde vie garantie ?

Que faire avec du vieux foin ? S’il est encore en bon état, proposez-le à un agriculteur pour ses vaches. Dans les écuries, le foin un peu vieux ou poussiéreux peut aussi être donné aux vaches (moins regardantes que les chevaux). Rien ne se perd, tout se transforme, même le foin !

Échauffement du foin : le risque caché

L’échauffement du foin, c’est un problème courant dans les exploitations agricoles. Conséquences ? Perte de qualité du fourrage (jusqu’à 40% de pertes énergétiques !) et risque d’incendie. La température du foin peut monter jusqu’à 80°C, provoquant l’auto-inflammation. Si la température dépasse 65-70°C, danger imminent ! Surveillez vos stocks de foin de près.

Traitements du foin : quand la technologie s’en mêle

Le trempage du foin : pour un foin plus sain (et moins sucré)

Tremper le foin, ça sert à quoi ? À diminuer la poussière et la teneur en sucres solubles. Intéressant pour les chevaux sensibles aux allergies respiratoires ou sujets à l’embonpoint. Un bain de jouvence pour le foin !

Étuver ou stériliser le foin : la solution anti-poussière et anti-microbes

L’étuvage ou la stérilisation du foin, c’est radical ! Réduction de 90 à 98% de la poussière, des bactéries et des champignons. Un traitement choc pour un foin ultra-propre, idéal pour les animaux fragiles.

La cuisson à la vapeur : le nettoyage en profondeur

La cuisson à la vapeur du foin, c’est un peu le pressing pour fourrage. Elle élimine une grande partie des bactéries (60 à 99%). Un bon compromis entre le trempage et l’étuvage.

L’enrubannage : le foin sous cellophane

L’enrubannage, c’est emballer hermétiquement les bottes de foin dans du film plastique. Objectif : préserver les nutriments et empêcher la croissance des bactéries grâce à un environnement sans air (anaérobie). Le foin sous vide, en quelque sorte.

Purification à la vapeur : le nec plus ultra ?

Pour purifier le foin, plusieurs options : secouer, mouiller, tremper… Mais la purification à la vapeur reste la référence. Un traitement efficace pour un foin impeccable.

Purificateur de foin : comment ça marche ? La technologie au service du foin

Un purificateur de foin, c’est un peu un spa pour fourrage. Un générateur de vapeur d’eau est relié à une malle où le foin est diffusé à travers la vapeur. Résultat : un foin purifié, hydraté et appétissant. La technologie au service du bien-être animal.

Pourquoi tremper le foin ? On récapitule

Tremper le foin, c’est pour diminuer la poussière et les sucres. Simple et efficace.

Cuire le foin à la vapeur : mode d’emploi

Les machines à vapeur cuisent le foin environ 1 heure à 100°C. Un traitement doux et efficace pour un foin propre et appétissant.

Nettoyer le foin : la vapeur, toujours la vapeur

Pour nettoyer le foin en profondeur, la vapeur est votre meilleure alliée. Elle élimine une grande partie des bactéries et impuretés.

Emballer les bottes de foin : l’enrubannage, pourquoi faire ?

L’enrubannage, c’est pour conserver les nutriments du foin et empêcher le développement des bactéries. Un emballage protecteur pour un foin de qualité.

Inconvénients de l’enrubannage : le coût, le coût et encore le coût

L’inconvénient majeur de l’enrubannage, c’est son coût. Plus cher que la récolte de foin classique. La qualité a un prix.

Purificateur de foin : l’arme anti-toux des chevaux ?

Un foin purifié à la vapeur sent bon, est réhydraté, et les chevaux adorent ! Effet immédiat : moins de toux. Un purificateur de foin, un investissement pour le confort respiratoire des chevaux.

Foin, fourrage, paille : le grand jeu des différences

Foin vs Fourrage : qui est qui ?

Le fourrage, c’est un terme plus large que le foin. Un fourrage peut inclure des feuilles, des tiges, mais aussi des racines (betteraves fourragères, etc.), des fruits, des co-produits… Le foin, c’est une catégorie de fourrage, obtenue uniquement à partir d’herbe fauchée et séchée.

Foin vs Paille : le match des végétaux secs

La paille, c’est la tige des céréales (blé, riz, seigle…) qui reste après la récolte des grains. Sèche, creuse et riche en carbone, la paille est surtout utilisée pour la litière des animaux. Le foin, lui, est fait d’herbe coupée encore verte et pleine de nutriments, avant qu’elle ne monte en graines. Deux végétaux secs, deux usages différents.

Quelle différence entre foin et paille ? On décrypte

La paille, c’est la tige de céréales après récolte, sèche et carbonée. Le foin, c’est de l’herbe fauchée et séchée, pleine de nutriments. Paille pour la litière, foin pour l’alimentation. C’est clair ?

Quelle différence entre foin et fourrage ? On ré-explique

Le fourrage, c’est le terme générique. Le foin, c’est un type de fourrage, fait d’herbe séchée. Les racines, les fruits, les co-produits… ce sont aussi des fourrages, mais pas du foin. Vous suivez ?

Aspects économiques du foin : ça coûte combien, tout ça ?

Le prix du foin : la tonne, s’il vous plaît !

Le prix d’une tonne de foin, ça dépend de la qualité, de la région, de l’année… Mais en moyenne, comptez environ 40€ la tonne de matière brute de fourrage. Un prix qui peut varier du simple au double selon les aléas climatiques et la demande.

Enrubannage vs foin : le match des coûts

L’enrubannage, c’est plus cher que la récolte de foin classique. Surcoût estimé : environ 38 € par tonne de matière sèche. Un investissement à peser selon les besoins et les objectifs.

Faire son foin soi-même ou déléguer ? Le dilemme économique

Faire son foin soi-même, ça demande du temps, du matériel et du savoir-faire. Déléguer à une entreprise, c’est un coût, mais un gain de temps et de tranquillité. Le choix dépend de vos ressources et de vos priorités. Dans les deux cas, la tonne de matière brute de fourrage revient à environ 40€. À vous de faire vos calculs !

Compléments et additifs pour le foin : le sel, l’allié méconnu

Le sel dans le foin : l’ingrédient secret ?

Le sel, utilisé à la récolte, peut aider à mieux conserver le foin. Et ce n’est pas tout ! Le sel améliore l’appétit des animaux et régule leur consommation d’eau. Un additif simple et efficace.

Pourquoi mettre du sel dans le foin ? On vous dit tout

Le sel, c’est un conservateur naturel pour le foin. Il aide à limiter le développement des moisissures et améliore la conservation. Un geste simple pour un foin qui se garde mieux.

Pourquoi les vaches lèchent du sel ? L’appel du sodium

Les vaches lèchent du sel parce qu’elles en ont besoin ! Le sel est un agent d’appétence qui améliore leur appétit et régule leur consommation d’eau. Et surtout, les fourrages sont naturellement pauvres en sel. La complémentation en sel est donc indispensable pour leur équilibre.

Plantes à foin : les stars des prairies

Avoine et orge : les céréales à foin par excellence

L’avoine et l’orge sont les plantes les plus cultivées pour le foin. Le blé est moins adapté, et le seigle est plus grossier. Avoine et orge, le duo gagnant pour un foin de qualité.

Sécheresse et foin : quand la contrainte devient opportunité

Les plantes touchées par la sécheresse sont souvent transformées en foin. Une façon de valoriser une ressource végétale même en conditions difficiles. La sécheresse, parfois, ça peut aussi avoir du bon (pour le foin, en tout cas).

Quelle plante fait le foin ? On répond à la question

Le foin, c’est principalement fait d’avoine et d’orge. Mais d’autres plantes peuvent aussi être utilisées, surtout en cas de sécheresse. L’herbe des prairies, en général, est la matière première du foin.

Autres utilisations et produits dérivés du foin : du lait à la bouillie

Le lait de foin : le goût de l’herbe dans votre verre

Le lait de foin, c’est un lait de vache, de chèvre ou de brebis provenant d’animaux nourris principalement avec de l’herbe et du foin. Un lait au goût authentique, qui sent bon la prairie et le terroir.

La bouillie de foin : le repas forcé pour animaux récalcitrants

La bouillie de foin, c’est une préparation à base de foin infusé, utilisée pour nourrir de force les animaux malades ou affaiblis. Un remède de cheval (c’est le cas de le dire) pour les situations d’urgence.

Comment faire de la bouillie de foin ? La recette express

Pour faire de la bouillie de foin, rien de plus simple : faites infuser une bonne poignée de foin dans de l’eau bouillante, laissez refroidir et c’est prêt ! Un remède maison facile à préparer.

Comment est fait le lait de foin ? Le secret de fabrication

Le lait de foin, c’est tout simplement du lait d’animaux nourris avec de l’herbe et du foin. Pas de recette miracle, juste une alimentation naturelle et respectueuse du bien-être animal. Le goût authentique, ça commence par là.

Problèmes et risques liés au foin : moisissures et refus

Foin pourri ou moisi : danger !

Un foin pourri ou moisi est impropre à la consommation. Il peut contenir des mycotoxines, des substances toxiques produites par les champignons. Un foin douteux, direction poubelle ! En cas de doute, certains laboratoires peuvent tester votre foin pour détecter les mycotoxines.

Refus du foin par les chevaux : le signal d’alarme

Si votre cheval refuse son foin, ça peut être le signe d’un problème de santé, notamment des douleurs à l’estomac. Les tiges de foin peuvent irriter la muqueuse sensible de l’estomac et provoquer des douleurs. Un refus de foin, ça mérite une consultation vétérinaire.

Pourquoi mon cheval boude son foin ? Les raisons du refus

Les chevaux refusent souvent le foin pendant la phase aiguë de problèmes gastriques. Mais d’autres raisons peuvent expliquer un refus : foin de mauvaise qualité, problème dentaire, stress… Observez votre cheval et consultez votre vétérinaire pour identifier la cause du problème.

Confiture de lait : la douceur à base de lait (et de sucre)

Confiture de lait : la recette gourmande

La confiture de lait, c’est un mélange de lait et de sucre, cuit lentement jusqu’à épaississement et caramélisation. Comptez 300 à 500g de sucre par litre de lait. Un délice régressif à tartiner sans modération (ou presque).

Bicarbonate dans la confiture de lait : l’astuce anti-acidité

Une pincée de bicarbonate de soude dans la confiture de lait, ça sert à quoi ? À équilibrer l’acidité du lait et à adoucir le goût de la confiture. Un secret de chef pour une confiture de lait parfaite.

Jus de citron dans la confiture : le conservateur naturel (et acidulé)

Le jus de citron dans la confiture, ça apporte de l’acidité, qui compense le sucre et remplace l’acidité naturelle des fruits. Et en plus, le citron joue un rôle de conservateur naturel. Double effet kiss cool.

Confiture de lait, dulce de leche, caramel au lait… : les noms d’un délice

La confiture de lait, vous la connaissez peut-être sous le nom de « dulce de leche ». Ou caramel au lait. Peu importe le nom, le résultat est le même : une gourmandise crémeuse et addictive.

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