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Le prunier a-t-il des épines ? Détails sur les variétés et leur identification

  • Ayngelina Borgan
  • 9 minutes de lecture
Le prunier a-t-il des épines Détails sur les variétés et leur identification
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Est-ce que le prunier a des épines ? La réponse piquante et fruitée !

Alors, la question qui brûle toutes les lèvres des jardiniers en herbe (et de ceux qui le sont moins) : est-ce que le prunier, cet arbre généreux en prunes juteuses, a des épines ? La réponse, mes amis, est un oui… mais avec des nuances, comme un bon vin ! Accrochez-vous à vos sécateurs, on part explorer le monde épineux (ou pas) du prunier.

Figurez-vous que dans la grande famille des pruniers, il y a un cousin un peu sauvageon, un rebelle de la branche, si vous me permettez l’expression : le prunellier, aussi connu sous le nom d’épine noire. Lui, c’est le dur à cuire de la famille, celui qui n’hésite pas à sortir les épines pour se défendre. C’est un peu le James Bond des pruniers, élégant mais prêt à piquer si on l’approche de trop près !

Le prunellier, mesdames et messieurs, c’est un arbuste épineux qu’on croise souvent à la campagne. Imaginez-le : petit, trapu, avec des branches qui partent dans tous les sens et des épines acérées comme des aiguilles à tricoter de grand-mère. Charmant, n’est-ce pas ?

Prunellier, l’épineux qui cache bien son jeu

Ce Prunus spinosa, pour les intimes, n’est pas là pour décorer. Ses épines, elles sont bien réelles et peuvent surprendre le jardinier imprudent. Alors, si vous vous aventurez à tailler un prunellier, oubliez le t-shirt à manches courtes et sortez l’armure de chevalier médiéval, ou au moins des gants épais ! C’est du vécu, croyez-moi.

Pourquoi ces épines, me direz-vous ? Eh bien, la nature est bien faite. Ces piquants dissuadent les animaux gourmands de venir grignoter ses jeunes pousses et ses délicieuses prunelles. C’est un peu le système d’alarme intégré du prunellier, une barrière anti-gourmandise très efficace. Ingénieux, non ?

Maintenant, parlons des précautions à prendre lors de la taille. Parce que oui, même les arbres épineux ont besoin d’une petite coupe de temps en temps. La « taille douce », comme disent les experts, est de mise. Imaginez-vous en train de faire une chorégraphie délicate entre les branches, en évitant les épines avec grâce et agilité. C’est tout un art !

Sérieusement, prenez votre temps, utilisez des outils bien aiguisés et portez des gants solides. Et si jamais une épine vous chatouille un peu trop, respirez profondément et rappelez-vous que la beauté a parfois un prix, même épineux.

Comment reconnaître un prunier (avec ou sans épines) ?

Alors, comment on fait pour reconnaître un prunier, qu’il soit épineux ou non ? C’est un peu comme différencier un chat d’un chien : il y a des indices !

La taille, déjà. Un prunier, c’est un arbre de taille moyenne, entre 3 et 8 mètres de haut. Pas un géant, mais pas un nain non plus. Le prunellier, lui, est plus petit, souvent entre 1,50 et 2 mètres. C’est un peu le petit frère, plus discret, mais tout aussi coriace.

Les fleurs, ensuite. Blanches, délicates, elles apparaissent avant les feuilles, sur les branches de l’année passée. C’est un peu leur façon de dire « coucou, le printemps arrive ! ». Le prunellier, lui, est un peu pressé : il fleurit avant même que ses feuilles ne pointent le bout de leur nez. C’est un peu le premier de la classe, toujours en avance.

Les feuilles, parlons-en. Dentelées, presque ovales, et plutôt fragiles. Imaginez-les comme de la dentelle verte, délicate et élégante. Le prunier domestique a des jeunes rameaux glabres, c’est-à-dire sans poils. Ses feuilles sont caduques, ovales ou oblongues, et parfois légèrement duveteuses en dessous. Un vrai poète, ce prunier !

Le système racinaire, enfin. Drageonnant, ce qui signifie qu’il a tendance à envoyer des rejets un peu partout. C’est un peu le roi de l’expansion territoriale, prêt à coloniser tout le jardin. Attention à ne pas le laisser prendre trop de place !

Prunier vs Prunellier : le match des cousins

Alors, quelles sont les différences entre le prunier et le prunellier, ces deux cousins qui se ressemblent et ne se ressemblent pas ? C’est un peu comme comparer un chat de gouttière à un chat de race : les deux sont des chats, mais…

La floraison, déjà. On l’a dit, le prunellier fleurit avant les feuilles, alors que le prunier sauvage fleurit en même temps que ses feuilles apparaissent. C’est un détail, mais ça peut aider à les différencier. Un peu comme la couleur des yeux, ça ne fait pas tout, mais ça donne une indication.

Les fruits, bien sûr ! Le prunier nous offre de belles prunes juteuses, de toutes les couleurs et de toutes les saveurs. Le prunellier, lui, nous donne des prunelles, plus petites, plus acides, mais parfaites pour faire de la confiture ou de la liqueur. C’est un peu le rustique de la famille, moins tape-à-l’œil, mais plein de ressources.

Prunier vs Cerisier : qui est qui ?

Et si on comparait le prunier au cerisier, un autre arbre fruitier très apprécié ? C’est un peu comme comparer une pomme à une orange : les deux sont des fruits, mais…

L’écorce, d’abord. Le cerisier a une écorce plutôt claire, comparée à celle du prunier, presque noire. C’est un peu comme comparer un blond vénitien à un brun ébène. De plus, l’écorce du cerisier est lisse, avec des lignes horizontales bien visibles. Celle du prunier, elle, est plus rugueuse. Un peu comme comparer la peau d’un bébé à celle d’un crocodile (en moins extrême, bien sûr !).

Prunellier vs Aubépine : le duel des épineux

Et pour finir, comparons le prunellier à l’aubépine, un autre arbuste épineux qu’on croise souvent dans les haies. C’est un peu comme comparer un hérisson à un porc-épic : les deux piquent, mais…

Les feuilles, c’est la clé ! Le prunellier a des feuilles simples, ovales, dentées et pointues. L’aubépine, elle, a des feuilles lobées, c’est-à-dire avec des « bosses ». Imaginez une feuille de chêne miniature, c’est un peu ça. C’est un peu comme comparer une feuille de laurier à une feuille de vigne.

Les fruits, aussi. Le prunellier fait des petites prunelles bleues. L’aubépine, elle, fait des cenelles rouges. C’est un peu comme comparer des myrtilles à des cerises. Les deux sont des fruits rouges ou bleus, mais pas les mêmes.

Les autres arbres fruitiers à épines : le club des piquants

Le prunier n’est pas le seul arbre fruitier à avoir des épines ! Il fait partie d’un club assez select d’arbres piquants. Parmi les membres, on trouve :

  • Certains citronniers, les rois des agrumes acidulés.
  • Certains orangers, les stars des jus de fruits vitaminés.
  • Les pommiers sauvages, les ancêtres de nos pommes domestiques.
  • Les grenadiers, avec leurs fruits rouges éclatants et leurs graines rubis.
  • Certains pruniers sauvages, les cousins éloignés de nos pruniers de jardin.
  • Les féviers, moins connus, mais tout aussi épineux.

C’est un peu le gang des épineux, prêts à défendre leurs fruits avec panache et piquants !

Tout ce que vous devez savoir sur le prunier (avec ou sans épines)

Maintenant qu’on a fait le tour des épines, parlons un peu du prunier en général. Parce que c’est quand même un arbre fascinant, avec ou sans piquants !

Croissance et fructification : la patience est une vertu

Le prunier, c’est un arbre qui pousse rapidement, surtout s’il a de l’espace pour s’épanouir. Il aime bien se dégourdir les branches, le bougre !

Pour la pollinisation, certains jardiniers malins plantent deux pruniers dans le même trou. Pas pour avoir plus de fruits, mais pour s’assurer une bonne fécondation. C’est un peu le mariage arrangé des arbres fruitiers, mais ça marche !

Attention à la taille ! Une taille trop sévère, c’est le meilleur moyen de stresser votre prunier et de le rendre moins productif. Il faut tailler avec modération, et au bon moment : après la récolte ou en hiver. C’est un peu comme couper les cheveux : il faut y aller doucement pour ne pas faire de catastrophe capillaire.

Si votre prunier est jeune, ne vous inquiétez pas s’il ne donne pas de fruits la première année. C’est normal, il a besoin de temps pour s’installer et prendre ses marques. Mais s’il est en place depuis plusieurs années, il devrait commencer à fructifier. La patience est une vertu, surtout au jardin !

Et si vous voyez des fruits tomber avant maturité, pas de panique ! C’est souvent un signe que votre arbre est en bonne santé. Il se régule, il s’assure qu’il peut nourrir tous les fruits qui restent. C’est un peu le tri sélectif des pruniers, rien ne se perd, tout se transforme (en compost, par exemple !).

Culture et multiplication : les secrets de la reproduction

Pour multiplier le prunier, il y a plusieurs techniques. Vous pouvez semer un noyau de prune. C’est un peu la méthode « graines de star », simple et naturelle. Mais attention, vous n’obtiendrez pas forcément le même prunier que celui dont vous avez mangé la prune. C’est un peu la loterie génétique, mais ça peut être une belle surprise !

Vous pouvez aussi faire des boutures. Coupez des rameaux, plantez-les dans un mélange de sable et de terreau, et attendez que ça prenne. C’est un peu la méthode « clonage », plus technique, mais plus sûre pour reproduire fidèlement votre prunier préféré.

Enfin, vous pouvez récupérer les drageons, ces rejets qui poussent au pied de l’arbre. Mais attention, ces drageons viennent souvent du porte-greffe, pas de la variété de prune que vous voulez. Vous obtiendrez un arbre, mais pas forcément celui que vous espériez. C’est un peu comme commander un steak frites et recevoir une salade verte : ce n’est pas tout à fait pareil !

Durée de vie : un passage éclair, mais fruité

Le prunier a une durée de vie plutôt courte, entre 30 et 50 ans. C’est un peu l’éphémère de la famille des arbres fruitiers. Mais pendant ce temps, il nous offre de belles récoltes de prunes ! C’est un peu comme une étoile filante : ça brille intensément, mais pas très longtemps.

Divers : la prune, star de nos vergers

Le prunier est cultivé principalement pour son fruit, la prune. Un fruit délicieux, qu’on peut déguster frais, en tarte, en confiture, ou séché en pruneau. C’est un peu le couteau suisse des fruits, polyvalent et savoureux.

Les prunes sont aussi bonnes pour la santé. Elles sont riches en antioxydants, qui aident à lutter contre le vieillissement des cellules. Elles sont aussi bonnes pour le transit intestinal. C’est un peu le super-héros des fruits, bon pour le corps et pour le moral !

Les autres arbres mentionnés : un tour d’horizon arboricole

Dans les faits fournis, on parle aussi d’autres arbres. Faisons un petit tour d’horizon, histoire de ne pas se perdre dans la forêt des connaissances !

Conifères : les rois du sapin de Noël

Les conifères, ce sont des arbres comme les sapins, les pins, les cyprès. Ils ont des feuilles en forme d’aiguilles ou d’écailles, et ils gardent leurs feuilles toute l’année (sauf le mélèze, le rebelle !). Ce sont un peu les evergreen de la nature, toujours verts, toujours présents.

Le mélèze, c’est le seul conifère qui perd ses aiguilles en hiver. C’est un peu l’exception qui confirme la règle, le trublion de la famille des conifères.

Arbres à croissance rapide et à feuillage persistant : les champions de la haie

Le cyprès bâtard, c’est un arbre qui pousse vite et qui garde ses feuilles toute l’année. Parfait pour faire une haie qui cache les voisins un peu trop curieux ! C’est un peu le champion de la discrétion, rapide et efficace.

Arbres pour haies fruitières : les gourmandises à portée de main

Pour faire une haie fruitière, on peut planter des groseilliers, des framboisiers, des myrtilliers, des cassissiers, des cerisiers, des pommiers, des poiriers et… des pruniers ! C’est un peu le buffet à volonté du jardinier, avec des fruits frais à portée de main.

Arbres toxiques : les dangers cachés du jardin

Le mancenillier, c’est un arbre des Antilles réputé pour être le plus dangereux du monde ! Il est toxique à tous les niveaux : sève, fruits, feuilles, fumée… Mieux vaut le croiser de loin ! C’est un peu le bad boy des arbres, à éviter absolument.

Arbres avec racines solides : les piliers de la nature

Le saule pleureur, lui, a des racines super solides, qui peuvent s’étaler sur plus de 25 mètres ! C’est un peu le Hulk des arbres, avec une force de la nature impressionnante.

Autres notions : le dico du jardinier

Pour finir, quelques définitions pour éclairer notre lanterne de jardinier en herbe.

Définition d’une épine : le piquant, c’est chic !

Une épine, c’est un piquant qui pousse sur certaines plantes. Attention à ne pas confondre avec un aiguillon ! L’épine, on peut la détacher sans abîmer la plante. L’aiguillon, c’est plus intégré, plus agressif. C’est un peu comme comparer une épingle à nourrice à une seringue.

Rôle des épines : la défense, c’est vital !

Les épines, ça sert à protéger les plantes des animaux gourmands. Mais ça peut aussi aider à réguler la température de la plante. C’est un peu comme une climatisation naturelle et un système de sécurité intégrés.

Toxicité du prunellier : prudence, prudence !

Le prunellier a des noyaux qui contiennent une substance toxique, l’amygdaline. Si on mange trop de noyaux, on peut s’intoxiquer. Alors, on évite de croquer les noyaux, et on se contente de la chair des prunelles. C’est un peu comme le foie du poisson-globe : délicieux, mais potentiellement mortel si mal préparé.

Voilà, on a fait le tour de la question épineuse du prunier ! J’espère que vous y voyez plus clair maintenant. Alors, prunier avec ou sans épines, l’important, c’est d’avoir de belles prunes à déguster ! Et si vous croisez un prunellier, admirez-le de loin, ou avec des gants ! Sur ce, je vous laisse retourner à vos jardins, et je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures botaniques !

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Ayngelina Borgan

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