Qu’est-ce que ça veut dire, bobo au corps ? Décryptage (non médical, promis)
Alors, la question existentielle du jour, c’est : c’est quoi un « body ailment » ? En français, on pourrait traduire ça par « maladie corporelle », « affection physique », ou encore, pour faire plus simple, un « bobo au corps ». Oui, oui, un bobo, comme quand on était petit et qu’on se cognait le genou. Sauf que là, c’est un peu plus sérieux qu’une égratignure.
En gros, un « body ailment », c’est un peu le bazar dans la machine humaine. C’est ce truc persistant qui nous chiffonne, qui nous rappelle que notre corps n’est pas infaillible, loin de là. C’est pas juste un petit rhume passager, non, c’est quelque chose qui s’installe, qui dure, qui parfois nous fait franchement râler. Parce que soyons honnêtes, qui aime être malade ? Personne, évidemment ! C’est jamais le bon moment pour avoir un « body ailment », n’est-ce pas ?
Plus précisément, qu’est-ce que ça englobe ?
Si on se penche un peu plus sur la définition officielle, un « body ailment » c’est souvent décrit comme un trouble corporel ou une maladie persistante. Le mot clé ici, c’est « persistant ». On parle pas d’un petit coup de fatigue après une nuit blanche (ça, c’est juste la dure loi de la vie sociale). Non, on parle de quelque chose qui s’accroche, qui nous suit comme notre ombre, et qui devient une source de… comment dire délicatement… de plaintes. Ah oui, c’est ça, un « body ailment », c’est aussi une excellente raison de se plaindre, soyons honnêtes !
Imaginez un peu : vous vous levez un matin, et là, bam ! Un truc cloche. Peut-être que c’est votre dos qui décide de faire grève générale. Peut-être que c’est votre tête qui tambourine comme si un groupe de rock s’était installé entre vos deux oreilles. Ou peut-être, soyons fous, c’est votre estomac qui se prend pour un volcan en éruption. Dans tous les cas, c’est un « body ailment » qui se manifeste. Et croyez-moi, votre corps vous envoie un message clair : « Hé, oh, y’a un problème là ! Faut faire quelque chose ! ».
Les « body ailments », c’est la famille nombreuse !
La beauté (si on peut dire) des « body ailments », c’est leur diversité. C’est un peu comme une grande famille, avec plein de membres différents, chacun avec sa spécialité en matière de torture corporelle. On a les classiques : le rhume qui nous transforme en fontaine à mouchoirs, la grippe qui nous cloue au lit comme si on était collé avec de la super glue, les migraines qui nous font voir 36 chandelles (et pas des jolies). Mais il y a aussi les plus « exotiques » : les allergies qui nous font éternuer à tout va, l’eczéma qui nous transforme en patchwork de plaques rouges, ou encore, soyons joyeux, les douleurs chroniques qui deviennent nos colocataires à temps plein.
Et puis, il y a les « body ailments » qu’on se traîne sans trop savoir ce que c’est. Ces petites douleurs vagues, ces fatigues inexpliquées, ces sensations bizarres qui nous font dire : « Hmmm, je crois que j’ai un truc, mais je sais pas quoi… ». Ceux-là, ils sont particulièrement fourbes. Parce qu’ils sont pas assez graves pour nous envoyer aux urgences, mais assez pénibles pour nous gâcher la vie tranquillement, mine de rien.
Pourquoi on chope ces machins-là ?
Alors, la grande question : pourquoi notre corps nous fait-il des misères ? La réponse, malheureusement, est un peu bateau : c’est compliqué. Les causes des « body ailments » sont multiples et variées, comme un buffet à volonté géant. Il y a les facteurs externes, bien sûr : les virus, les bactéries, les microbes en tout genre qui adorent nous attaquer dès qu’on baisse notre garde. C’est un peu comme des petits squatteurs qui profitent de la moindre faiblesse pour s’installer confortablement dans notre organisme.
Mais il y a aussi les facteurs internes, ceux qui viennent de nous, de notre mode de vie, de notre génétique (merci papa, merci maman !). Le stress, le manque de sommeil, la malbouffe, le manque d’exercice, tout ça, c’est des ingrédients parfaits pour concocter un bon « body ailment maison ». C’est un peu comme si on donnait à notre corps un manuel d’instructions pour tomber malade. Et après, on s’étonne que ça arrive !
Alors, on fait quoi face à un « body ailment » ?
Bon, la bonne nouvelle, c’est qu’on n’est pas complètement démuni face à ces « body ailments ». Déjà, la première étape, c’est d’écouter son corps. Oui, oui, je sais, c’est cliché, mais c’est vrai. Notre corps nous parle en permanence, il nous envoie des signaux. À nous de les décrypter. Si on sent qu’un truc cloche, qu’une douleur persiste, qu’une fatigue s’installe, il faut pas faire l’autruche en espérant que ça passe tout seul comme par magie. Parce que souvent, ça ne passe pas, ou alors ça passe en pire.
Ensuite, la deuxième étape, c’est de ne pas hésiter à aller voir un professionnel de la santé. Un médecin, un pharmacien, un kiné, peu importe, quelqu’un qui sait ce qu’il fait et qui peut nous aider à comprendre ce qui se passe et à trouver des solutions. Parce que l’automédication à base de « remèdes de grand-mère » et de conseils trouvés sur internet, c’est pas toujours la meilleure idée (sauf si votre grand-mère est médecin et que internet est votre source d’information principale, mais là, on sort un peu du cadre). Et puis, avouons-le, c’est quand même plus rassurant d’avoir l’avis d’un expert, non ?
En résumé, le « body ailment », c’est…
Pour résumer, un « body ailment », c’est donc un peu tout et n’importe quoi qui cloche dans notre corps, qui dure dans le temps et qui nous donne de bonnes raisons de nous plaindre (avec modération, bien sûr, on ne veut pas devenir la personne relou qui parle tout le temps de ses bobos). Ça peut être une petite gêne passagère ou une maladie plus sérieuse. L’important, c’est de ne pas ignorer les signaux de notre corps et de prendre soin de notre santé, parce que mine de rien, c’est quand même notre bien le plus précieux. Alors, à vos vitamines, à vos légumes, et à votre bonne humeur (ça aide aussi, paraît-il) !