Quel est le pays qui fait le meilleur saucisson ? La réponse pourrait bien vous surprendre !
Ah, le saucisson ! Cette gourmandise française par excellence, symbole de l’apéro convivial, des pique-niques improvisés et des tablées entre amis. Mais au fait, si on devait décerner la palme du meilleur saucisson du monde, à quel pays reviendrait-elle ? Accrochez-vous, car la réponse risque de bousculer quelques idées reçues.
Ne cherchez plus vos boussoles gustatives, mesdames et messieurs, direction l’Italie ! Oui, vous avez bien lu. Selon des sources très sérieuses (et non, ce n’est pas une blague de charcutier), c’est de l’autre côté des Alpes que se cache le Graal du saucisson. Alors, rangez vos clichés sur la pizza et les pasta, car l’Italie a plus d’un tour dans son sac – et plus d’une saucisse dans son séchoir !
Mais avant de crier victoire (ou plutôt « vittoria! »), plongeons ensemble dans l’histoire fascinante de ce noble ambassadeur de la gastronomie. Parce que, soyons honnêtes, le saucisson, c’est bien plus qu’un simple bout de viande séchée. C’est un héritage, une tradition, un art de vivre !
Aux origines du saucisson : une saga millénaire
Figurez-vous que les origines du saucisson sont aussi floues que les contours d’une tranche coupée un peu trop vite. Plusieurs peuples se disputent le titre de « papa » du saucisson. Les Gaulois, avec leurs techniques ancestrales de conservation de la viande, pourraient bien être les premiers inventeurs. Après tout, ils étaient déjà experts en matière de bonne chère, nos ancêtres les Gaulois !
D’autres, plus sérieux (ou peut-être juste plus chauvins ?), pointent du doigt les Romains. Il faut dire que ces derniers maîtrisaient l’art de la salaison comme personne. Avec leur sens de l’organisation et leur amour de la bonne bouffe, il ne serait pas étonnant qu’ils aient mis au point les premières versions de ce que nous connaissons aujourd’hui. Imaginez un peu, César grignotant un saucisson entre deux batailles, ça a de la classe, non ?
Et puis, il y a la thèse greco-romaine, qui met tout le monde d’accord (ou presque). Selon cette version, les Grecs et les Romains auraient inventé le saucisson à peu près à la même époque, au moment même où ils découvraient les joies de la salaison. Un heureux hasard, ou le fruit d’une collaboration culinaire transfrontalière avant l’heure ? Le mystère reste entier !
Ce qui est sûr, c’est que ce sont bien les Romains qui ont perfectionné les techniques de salaison. Il faut dire qu’ils avaient une sacrée motivation : nourrir leurs légions, conserver la viande pendant les longs voyages, et accessoirement, se régaler un peu, quand même ! La salaison, c’était un peu le frigo du pauvre de l’époque, mais avec un goût en prime.
Pour la petite anecdote, le mot « saucisson » n’est apparu qu’en 1546 en France, sous la plume de François Rabelais, dans son fameux « Tiers Livre ». Comme quoi, même les grands écrivains avaient un faible pour la charcuterie ! L’étymologie est limpide : « saucisson » vient du latin « salsus », qui signifie « salé ». On ne pouvait pas faire plus clair.
Et le saucisson d’Arles, me direz-vous ? Ah, le saucisson d’Arles ! Avec son petit accent chantant et son parfum ensoleillé. Eh bien, figurez-vous qu’il est lui aussi d’origine italienne ! C’est un charcutier arlésien du XVIIème siècle, un certain Godart, qui l’a importé dans nos contrées. Comme quoi, l’Italie et la France, c’est une longue histoire d’amour… et de saucisson !
Tour du monde des saucissons : embarquement immédiat !
Maintenant que nous avons éclairci les origines du saucisson, partons à la découverte des différentes variétés qui existent à travers le monde. Car oui, le saucisson n’est pas une affaire franco-française, loin de là ! C’est un produit mondialisé, apprécié aux quatre coins du globe, avec ses spécificités locales et ses traditions ancestrales.
En Europe, l’Allemagne est le champion de la production de charcuterie. Nos voisins germaniques ne rigolent pas avec la Wurst ! Mais l’Italie, l’Espagne et la France suivent de près, avec chacune environ 9% de la production européenne. La Pologne et le Royaume-Uni complètent ce tableau des nations charcutières. De quoi organiser un championnat d’Europe du saucisson, vous ne trouvez pas ?
Côté consommation, la France est sur la première marche du podium. Avec plus de 70 000 tonnes englouties chaque année, les Français sont les plus grands amateurs de saucisson au monde. Autant dire que le saucisson fait partie intégrante de notre patrimoine national. C’est un peu notre Tour Eiffel à nous, mais en plus comestible. Et avec plus de 2,2 kg consommés par seconde, on peut dire que le saucisson a une place de choix dans le cœur (et l’estomac) des Français.
Le saucisson sec, star incontestée de nos apéros, est le chouchou des Français. Simple, authentique, facile à transporter, il a tout bon. Mais il ne faut pas oublier les autres variétés, moins connues mais tout aussi savoureuses.
Connaissez-vous le Kulen, ou Kulin ? Ce saucisson sec croate, originaire de Slavonie, est considéré comme le nec plus ultra de la charcuterie. C’est le plus cher, le plus rare, celui que l’on déguste avec respect et délectation. Un peu comme un grand cru classé, mais en version saucisson.
En Italie, la Calabre, région réputée pour son caractère pimenté, nous offre la Nduja. Ce saucisson à tartiner, rougeoyant et explosif en bouche, est une véritable invitation au voyage. Attention, ça pique ! Mais c’est tellement bon…
Revenons en France, avec le fameux saucisson d’Arles. Sa particularité ? Il est composé de viande bovine et porcine, assaisonné avec des épices et des herbes de Provence. Un mariage terre-mer réussi, qui sent bon le soleil et la garrigue.
Envie d’exotisme ? Direction l’Australie, où l’on trouve du saucisson de kangourou. Oui, vous avez bien entendu, de kangourou ! Une expérience gustative surprenante, pour les palais aventureux. Et pour rester dans le registre animalier, on peut aussi citer le saucisson de sanglier, ou de cerf, qui fleurent bon la forêt et les saveurs sauvages.
L’Espagne n’est pas en reste, avec son Fuet, un saucisson sec typique de Catalogne. Fin, élégant, parfumé, il se déguste à toute heure de la journée. Un peu comme une baguette de pain, mais en version charcutière.
Et le Portugal, dans tout ça ? Eh bien, figurez-vous que l’Alheira de Vinhais a été classée meilleure saucisse du monde par TasteAtlas, rien que ça ! Cette saucisse portugaise, à base de viande de volaille et de pain, est un véritable trésor culinaire. On peut la déguster frite, au four ou grillée, accompagnée de pommes de terre et de légumes. Un plat complet, gourmand et réconfortant.
L’Italie, encore elle, nous propose le Cacciatore DOP, le saucisson le plus vendu de la Botte. Produit exclusivement à partir de porcs nés et élevés dans le nord et le centre de l’Italie, il bénéficie d’une appellation d’origine protégée. Un gage de qualité et d’authenticité.
Mais la France n’a pas dit son dernier mot ! Au Mondial Rabelais 2023, le saucisson Petit Bridé au Saint-Joseph a décroché la médaille d’or. Un titre prestigieux, qui récompense le savoir-faire artisanal et le goût exceptionnel de ce saucisson ligérien. Et pour ne pas faire de jaloux, le saucisson IGP Ardèche à l’ancienne et le Gros Bridé IGP Ardèche ont remporté les médailles d’argent. L’Ardèche, terre de champions du saucisson !
Terminons ce tour d’horizon avec le Jésus Lyonnais, un gros saucisson traditionnel français, généreux et convivial. Avec ses 650 grammes environ, il est parfait pour les grandes tablées et les repas de famille. Son nom, un peu mystérieux, viendrait de sa forme, qui rappelle celle d’un bébé emmailloté. Ou peut-être est-ce juste une façon de dire que c’est un saucisson divin ?
Secrets de fabrication : comment naît un grand saucisson ?
Vous êtes-vous déjà demandé comment on fabriquait un saucisson ? Non, parce que, avouons-le, on est souvent plus préoccupé par le déguster que par le comprendre. Mais la fabrication du saucisson, c’est tout un art, un savoir-faire ancestral qui se transmet de génération en génération.
L’ingrédient principal, vous vous en doutez, c’est la viande. De la viande maigre, de porc le plus souvent, mais aussi de bœuf, voire de volaille. La qualité de la viande est primordiale pour obtenir un bon saucisson. Pas question de lésiner sur la matière première !
Ensuite, on ajoute les épices. Le trio gagnant, c’est poivre, ail et muscade. Mais chaque charcutier a ses petits secrets, ses mélanges personnels, qui font toute la différence. Certains ajoutent du vin, des herbes de Provence, du piment d’Espelette… C’est un peu comme la recette de famille, chacun a sa version.
Pour reconnaître un bon saucisson, il existe une règle simple, la règle des 3 F : Fleur, Forme, Ficelle. La fleur, c’est cette moisissure blanche qui recouvre le saucisson. C’est un champignon, le penicillium, qui se développe naturellement pendant le séchage. Elle est signe de qualité et de bonne conservation. Attention, pas de panique si votre saucisson est fleuri, c’est tout à fait normal !
La forme, elle aussi, compte. Un bon saucisson doit avoir une forme irrégulière, naturelle, qui témoigne d’une fabrication artisanale. Les saucissons industriels, eux, ont tendance à être calibrés, parfaits, un peu trop lisses. C’est comme comparer une tomate du jardin et une tomate hors-sol. L’une a du goût, l’autre… bof.
Enfin, la ficelle. Elle doit être en fibres naturelles, et non en plastique. Elle sert à fermer le saucisson, mais aussi à le suspendre pendant le séchage. Une ficelle de qualité, c’est un détail qui a son importance.
Le processus de fabrication, lui, est assez simple. Salaison, séchage naturel, et c’est tout ! Pas besoin d’artifices, la nature fait bien les choses. Le séchage peut durer de quelques semaines à plusieurs mois, selon la taille du saucisson et le résultat souhaité. C’est pendant cette période que les arômes se développent, que les saveurs se concentrent, que le saucisson devient… saucisson !
Comment reconnaître un saucisson d’exception ? Les critères de qualité
Maintenant que vous êtes incollable sur la fabrication du saucisson, passons à la dégustation. Comment reconnaître un bon saucisson, un saucisson d’exception, celui qui vous fera chavirer les papilles ? Voici quelques indices qui ne trompent pas.
La couleur, d’abord. Un bon saucisson artisanal aura une couleur non uniforme, avec des nuances de rouge, de rose, de blanc. C’est le signe qu’il a été fabriqué avec de la bonne viande, et qu’il n’a pas été standardisé à outrance. Les saucissons industriels, eux, ont souvent une couleur uniforme, un peu artificielle.
La moisissure, ensuite. Comme on l’a vu, la fleur de saucisson est un signe de qualité. Elle doit être blanche ou grise, naturelle, et non blanche et régulière, comme celle des produits industriels. Une moisissure colorée (verte, bleue, noire), en revanche, est signe de détérioration. Dans ce cas, on jette, sans hésiter.
On revient à la règle des 3 F : Fleur, Forme, Ficelle. Si votre saucisson coche toutes les cases, c’est déjà un bon point. Mais il y a d’autres critères à prendre en compte.
Le label IGP Ardèche, par exemple. Si votre saucisson porte ce logo, c’est qu’il a été fabriqué dans le respect d’un cahier des charges précis, avec des ingrédients de qualité et un savoir-faire traditionnel. C’est un peu comme une appellation d’origine contrôlée pour le vin. Un gage de sérieux et d’authenticité.
Saucisson et santé : ce qu’il faut savoir pour se faire plaisir sans culpabiliser
Le saucisson, c’est bon, c’est convivial, mais est-ce bon pour la santé ? C’est la question que tout le monde se pose, surtout quand on entend parler des recommandations nutritionnelles et des mises en garde contre la charcuterie. Alors, faut-il bannir le saucisson de nos apéros ? Pas forcément. Tout est une question de modération et de choix.
Pour les enfants, il est conseillé d’attendre le plus tard possible avant de leur faire goûter du saucisson. Idéalement, entre 3 et 5 ans. Avant cet âge, leur système digestif est encore fragile, et il vaut mieux éviter les aliments trop gras, trop salés, trop épicés. Et puis, il y a le risque de listériose, une infection bactérienne qui peut être grave chez les jeunes enfants. Alors, on patiente un peu, et on leur réserve le saucisson pour plus tard.
Pour les adultes, le saucisson peut être consommé avec plaisir, mais avec modération. Comme tous les aliments, il faut trouver le juste équilibre. Privilégiez les saucissons artisanaux, fabriqués avec des ingrédients de qualité et moins d’additifs. Optez pour des versions faibles en sodium et en gras, si vous faites attention à votre ligne ou à votre tension.
Le saucisson a aussi des atouts nutritionnels. Il apporte des vitamines B (B1, B2, B3, B6, B12), qui sont essentielles pour le métabolisme énergétique et la santé nerveuse. Il contient aussi du zinc, un oligo-élément important pour le système immunitaire, la cicatrisation des plaies et la synthèse des protéines. Alors, le saucisson, pas si mauvais qu’on le dit ?
Attention quand même, la consommation de charcuterie avant 5 ans peut présenter des risques pour la santé des enfants. Santé Publique France rappelle ce risque potentiel, mais les élèves continuent de manger du saucisson et autres charcuteries dans certaines cantines scolaires, deux à quatre fois par mois. Il y a encore des progrès à faire en matière d’éducation nutritionnelle !
Conservation et péremption : jusqu’à quand peut-on garder son saucisson ?
Le saucisson sec a un avantage de taille : il se conserve longtemps. Très longtemps même. Un saucisson sec n’a pas de date limite de consommation (DLC). En principe, il peut se garder de quelques semaines à plusieurs mois. Tout dépend des conditions de stockage et du degré de séchage initial.
Mais attention, « longtemps » ne veut pas dire « éternellement ». Un saucisson trop vieux peut devenir rance, perdre de sa saveur, voire devenir impropre à la consommation. Alors, comment savoir si votre saucisson est encore bon ?
Fiez-vous à vos sens. L’aspect, l’odeur, le toucher. Si votre saucisson présente des moisissures vertes, bleues ou noires, c’est mauvais signe. Si il dégage une odeur désagréable, rancie, c’est encore plus mauvais signe. Si il est devenu trop sec, dur comme de la pierre, c’est qu’il est temps de le jeter. Dans le doute, abstenez-vous. Mieux vaut prévenir que guérir, surtout quand il s’agit de saucisson avarié !
Combien coûte le plaisir ? Le prix du saucisson décrypté
Le prix du saucisson varie en fonction de la qualité, de l’origine, du mode de fabrication, et de bien d’autres facteurs. Le saucisson sec « kulen » ou « kulin », le fameux saucisson croate, est le plus cher du marché. Un produit de luxe, réservé aux occasions spéciales.
Le Saucisson de Vic Gran Luxe de Casa Riera Ordeix, un saucisson espagnol réputé, fait aussi partie des plus chers. Un produit d’exception, pour les connaisseurs.
Pour un saucisson sec classique, de 280g environ, comptez en moyenne 9,20€. Un prix raisonnable, pour un plaisir simple et authentique. Mais les prix peuvent grimper en flèche, surtout si vous optez pour des saucissons artisanaux, issus de terroirs spécifiques, ou primés dans des concours.
Pourquoi le saucisson est-il parfois cher ? Plusieurs raisons à cela. La qualité de la viande, bien sûr. Les épices, qui peuvent venir de loin et coûter cher. Le temps de séchage, qui immobilise le produit pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Et puis, il y a les aléas climatiques, les crises sanitaires, comme la peste porcine africaine en Chine, qui ont un impact sur le prix du porc, et donc sur le prix du saucisson.
Champions et concours : la compétition fait rage dans le monde du saucisson
Le monde du saucisson n’échappe pas à la compétition. Il existe des concours, des championnats, des médailles, des classements. Les meilleurs saucissons du monde sont récompensés, les charcutiers sont mis à l’honneur, et les consommateurs peuvent se repérer dans la jungle des offres.
Jérôme Lepoivre, par exemple, est un champion de France et international du saucisson. Après son titre de champion de France en 2022, il a de nouveau été primé au concours international du saucisson. Un exploit, qui témoigne de son talent et de sa passion pour la charcuterie. Jérôme Lepoivre est agriculteur-éleveur dans le Perche. Comme quoi, on peut être paysan et champion du monde, c’est même plutôt une bonne combinaison !
Le Mondial du Saucisson est un concours international de dégustation et de labellisation des meilleurs saucissons. Il rassemble des producteurs du monde entier, venus de 144 pays. Un événement incontournable pour les professionnels et les amateurs de charcuterie.
Le Mondial Rabelais du Saucisson est un autre concours international, qui se déroule en Ardèche, à Guilherand-Granges. La prochaine édition aura lieu les 14 et 15 Juin 2025. Au programme : concours, foire régionale aux saucissons et produits du terroir, et manifestations annexes. De quoi passer un week-end gourmand et festif, sous le signe du saucisson !
Le saucisson en bref : tout ce qu’il faut savoir pour briller en société
Pour finir, quelques infos en vrac, pour parfaire votre culture saucissonnière et impressionner vos amis lors du prochain apéro.
Le fabricant de saucisson s’appelle un saucisseur. Logique, non ? Mais ça peut toujours servir dans une conversation.
Le saucisson a plein de surnoms : sauciflard, sifflard, saucissot, bitors… Des mots rigolos, qui témoignent de l’affection que l’on porte à ce produit.
Attention, la viande de luxe (Wagyu, Angus…) ce n’est pas de la charcuterie ! Même si c’est délicieux, ça n’a rien à voir avec le saucisson. C’est une autre catégorie, un autre univers.
La journée mondiale du saucisson, c’est le 28 mars. Pensez à noter la date dans votre agenda, pour ne pas la manquer ! Une occasion de plus de célébrer ce fleuron de la gastronomie.
Jimmy Dean est la marque de saucisses et jambons réfrigérés la plus vendue aux États-Unis. Avec 249 millions de dollars de ventes en 12 semaines, c’est un poids lourd du secteur. Mais attention, on parle de saucisses industrielles, rien à voir avec nos saucissons artisanaux.
Le saucisson brioché cocktail se conserve 8 à 10 jours au réfrigérateur. Pratique pour les apéros improvisés, ou les pique-niques de dernière minute.
Malgré les recommandations de santé publique, le saucisson est toujours présent dans les cantines scolaires. Deux à quatre fois par mois, les enfants continuent d’en manger. Un paradoxe, quand on sait les risques liés à la consommation de charcuterie chez les jeunes enfants.
Alors, quel pays remporte la palme du meilleur saucisson ? Le verdict
Après ce long voyage au pays du saucisson, il est temps de répondre à la question initiale : quel est le pays qui fait le meilleur saucisson ? Eh bien, si l’on en croit les sources les plus récentes, c’est l’Italie qui décroche la timbale. Oui, l’Italie, le pays de la pizza et des pasta, mais aussi du saucisson d’exception. Alors, la prochaine fois que vous irez en Italie, n’oubliez pas de goûter leurs spécialités charcutières. Vous pourriez bien être surpris !
Mais soyons honnêtes, la France n’est pas loin derrière. Avec ses saucissons secs, ses Jésus Lyonnais, ses saucissons d’Ardèche, et bien d’autres encore, elle a de quoi rivaliser avec l’Italie. Et l’Espagne, et le Portugal, et la Croatie… Chaque pays a ses propres trésors charcutiers, ses propres traditions, ses propres saveurs.
Alors, plutôt que de chercher à désigner un vainqueur, ne vaut-il pas mieux profiter de cette diversité, explorer les différentes variétés, goûter les spécialités de chaque région, de chaque pays ? Le monde du saucisson est vaste et passionnant. Il y a tant de choses à découvrir, tant de saveurs à explorer. Alors, à vos couteaux, et bonne dégustation !